Miracles prophète Mouhamad (SAW)

30/04/2013 18:26

Evidemment le prophète Mouhamad  faisait des miracles, beaucoup de miracles dont voici quelques exemple

                   Le Saint Coran

 

 
Le livre d'Allah, est un miracle permanent octroyé par Allah au Prophète Muhammad . Il lui a été révélé à travers Rouh-oul-Kodos (l'archange Gabriel). 

 

Jusqu'à nos jours, soit environ 1400 années après sa révélation, personne n'a pu l'imiter, comme cela est cité dans le Coran (traduction rapprochée) :
 
« En vérité c'est Nous qui avons fait descendre le Coran, et c'est Nous qui en sommes gardiens »
Sourate 15 : 'Al-Hijr'- verset 10
 
et affirmé par le Prophète 
 
« Avant moi, à chaque Prophète fut donné un miracle qu'il pratiquait pendant sa vie : Issa (Jésus) guérissait le malade et ressuscitait le mort, à Moussâ (Moïse) fut octroyé le miracle du bâton, etc. Quant à moi, j'ai reçu le Saint-Coran, le miracle permanent qui demeure jusqu'à ce que l'heure soit établie. Ainsi, j'espère que mes fidèles seront plus nombreux que ceux de tous les autres messagers, puisque mon miracle demeurera jusqu'au jour de la Résurrection. Ainsi, le Coran est un livre glorieux; quiconque le lit, même s'il est un païen, sera convaincu qu'il n'est produit que par le Créateur des cieux et de la terre.»
 
 
 La fente de la lune
 
Anas (Qu'Allah l'agrée) rapporta que les gens de Makka (La Mecque) demandèrent au Messager d'Allah  de leur montrer un miracle. Alors, le Prophète (que la prière et la paix d'Allah soient sur lui) leur montra la fente de la lune. (Voir sahîh al-Boukhârî, vol.4, Hadîth n° 831)
 
 

 

 Les pleurs du tronc de palmier dans la Mosquée du Prophète 
 
Ibn Omar (qu'Allah l'agrée) rapporte que le Prophète avait l'habitude de prononcer sa «khoutba» (sermon) en s'appuyant sur un tronc de palmier. 
 
Quand il utilisa une tribune au lieu de ce tronc, ce dernier commença à pleurer. 
 
Le Prophète  se dirigea vers lui, mit sa main sur lui pour qu'il cesse de pleurer. 
(Voir sahîh al-Boukhârî, vol.4, Hadîth n° 783)
 
 
 
 
L'écoulement de l'eau d'entre les doigts du Messager d'Allah (SAW)
 
(Voir sahîh al-Boukhârî, vol.4, Hadîth n° 779)
 
Jâbir ibn Abdillah (qu'Allah les agrée) rapporta:
 
J'étais avec le Prophète au moment de la prière du Asr. 
Nous n'avions pas d'eau avec nous qu'un peu dans une tasse qui fut apportée au Prophète (SAW). Il mit sa main dans la tasse, écarta ses doigts et dit:
« Avancez ! Dépêchez-vous ceux qui veulent faire les ablutions. C'est la bénédiction d'Allah ».
Je vis l'eau jaillir entre ses doigts. Ainsi, les gens firent leurs ablutions et burent à leur soif, et j'essayai de boire plus (au-delà de ma soif et de ma capacité), car je sus que c'était une bénédiction. Le sous-narrateur dit: Je demandai à Jâbir: « Combien de personnes étiez-vous ? » Il répondit: « Nous étions mille quatre cents hommes ».
 
 
 

 

 

Le rejet du corps d'un mort chrétien par la terre
 
Anas (qu'Allah l'agrée) rapporta: 
 
Un chrétien qui avait embrassé l'Islam, récita les deux sourates al-Baqarah (La vache) et Al-Imran (La famille d'Imran) et écrivit la révélation pour le Prophète . Puis, ce chrétien se reconvertit au Christianisme et commença à dire : « Muhammad ne sait rien sauf ce que je lui écrivais. » Puis, Allah causa sa mort et les gens l'enterrèrent. Mais le matin, ils trouvèrent son corps en dessus de la tombe. Ils dirent : « C'est une des actions de Muhammad et ses compagnons ; ils ont ouvert la tombe de notre compagnon et exhumé son corps parce qu'il les a quittés ». Alors, ils creusèrent la tombe de nouveau, cette fois-ci plus profondément, mais le matin, ils trouvèrent le corps en dehors de la tombe. Ils dirent : « C'est une des actions de Muhammad et ses compagnons ». Alors, ils creusèrent la tombe une troisième fois aussi profondément qu'ils pouvaient, mais le matin ils trouvèrent le corps en dehors de la tombe. Alors, ils crurent que ce qui s'était passé, n'était pas fait par un être humain, et ils laissèrent le corps en dehors de la tombe.
( Voir sahîh al-Boukhârî, vol.4, Hadîth n° 814 )
 
Les arbres couvraient le Prophète 
 
pendant qu'il faisait ses toilettes.
 
 Le jaillissement de l'eau dans un puits à al-Houdaybia après qu'il était asséché
( Voir sahîh Al-Boukhârî, vol.4, Hadîth n° 777 )
 
L'augmentation de la quantité des dattes
 
dans le jardin de Jâbir ibn Abdallah lorsque le Prophète  se mit devant des tas de dattes et invoqua les bénédictions d'Allah.
(Voir sahîh al-Boukhârî, vol.4, Hadîth n° 780)
 
Le propos du loup 
 
il a été écrit qu'un loup avait parlé à un des Compagnons du Prophète  près d'al-Madîna, comme cela est rapporté dans le mousnad d'Ahmad, vol.3, page 83, mousnad Abi Saîd al-Khoudri ( qu'Allah l'agrée ) rapporta :
 
Pendant qu'un berger était entre ses moutons, un loup attaqua soudainement un mouton et le prit avec lui avant de fuir.
Le berger chassa le loup et reprit le mouton. Alors, le loup s'assit sur sa queue et s'adressa au berger : « Aies crainte d'Allah, tu as pris la provision qu'Allah m'a donnée ».
Le berger dit : « Que c'est étonnant ! Un loup qui s'assied sur sa queue et me parle en langage humain ! »
Le loup dit : « Te dirai-je quelque chose de plus étonnant ? Il y a Muhammad, , le Messager d'Allah, à Yathrib (al-Madîna) en train d'informer les gens des récits du passé.»
Alors le berger partit à al-Madîna avec son mouton.
Quand il y arriva, il attacha son mouton et se rendit au Messager d'Allah et lui raconta toute l'histoire.
Le Messager d'Allah ordonna qu'on appelle au rassemblement d'une prière en commun, puis il sortit et demanda à l'homme de raconter aux gens toute l'histoire, ce qui fut fait.
Ensuite le Messager d'Allah 
dit :
 
« Il dit la vérité. Par Allah qui détient mon âme entre Ses Mains, le jour de la Résurrection ne sera établi que jusqu'à ce que les bêtes féroces parlent avec les êtres humains, le bâton frappe, les lacets d'une personne lui parlent et sa cuisse l'informe de ce qui s'est passé à sa famille en son absence. »
 

 

 

L'ascension du Prophète aux cieux.  

(Voir sahîh al-Boukhârî, vol.1 Hadîth n° 345 et vol.5 Hadîth n° 227)
 
 
Extrait du livre " sahîh al- Boukhârî". Edition Darussalam
 
copié de sourceislam.com
 

 

 

                                               Des morceaux de Pain pour 70 personnes :

D'après Anas Ibn Mâlik , Abou Talha dit à 'Umm Sulaym : "Je viens d'entendre l'Envoyé d'Allâh  parler d'une voix affaiblie, je vois qu'il souffre de la faim. As-tu quelque chose (à manger) par-devers toi?". - "Oui", répondit-elle. Et alors elle fit sortir quelques pains d'orge; les enveloppa dans l'un de ses voiles, puis, plaça le tout sous ma tunique et le fixa à mon bras à l'aide du reste de sa voile. Elle m'envoya ensuite vers l'Envoyé d'Allâh . Je partis avec ces pains et trouvai l'Envoyé d'Allâh  dans la mosquée, entouré des fidèles. Comme je restai debout devant l'assistance, l'Envoyé d'Allâh  me demanda si c'était bien Abou Talha qui m'envoyait. - "Oui", repris-je. - "Pour un repas?" ajouta-t-il. - "Oui", repris-je. Alors, s'adressant à ceux qui étaient avec lui, l'Envoyé d'Allâh  dit : "Partons". Il se mit aussitôt en marche et je le précédai. Arrivé chez Abou Talha , je lui fis part de ce qui arrivait. - "Ô 'Umm Sulaym, dit Abou Talha , voici l'Envoyé d'Allâh  qui arrive avec du monde et nous n'avons pas de quoi les nourrir". - "Allâh et Son Envoyé savent mieux que personne (ce qui doit arriver)", me répondit-elle. Abou Talha se porta à la rencontre de l'Envoyé d'Allâh . Puis l'Envoyé d'Allâh , accompagné de son amphitryon, arriva et dit : "Allons, 'Umm Sulaym, apporte-nous ce que tu as". Elle servit ces mêmes pains (qu'elle lui avait déjà destiné) et l'Envoyé d'Allâh  donna ordre de les émietter. Puis 'Umm Sulaym pressa une outre de graisse et assaisonna les miettes. Après avoir prononcé sur ce plat les paroles qu'Allâh voulut lui faire dire, l'Envoyé d'Allâh  ajouta : "Fais entrer dix de mes compagnons". L'invitation fut faite; ces dix personnes mangèrent de façon à être repues et sortirent ensuite. - "Fais-en entrer dix autres", reprit-il. L'invitation fut faite; ces dix autres mangèrent, se rassasièrent et sortirent. - "Fais-en entrer encore dix", ajouta-t-il. L'invitation fut faite; ils mangèrent, se rassasièrent et sortirent. Enfin, tout le monde mangea et se rassasia. Il y avait soixante-dix personnes - ou suivant une variante - quatre-vingts.

                                                                                                                                                                                                                Rapporté par Bukhari, Ayman, 22; Muslim, Ashriba, 142

 

                                                               130 personnes Pour Le foie d'une brebis

D'après 'Abdourrahmân Ibn 'Abî Bakr (??? ???? ???), Nous étions cent trente personnes avec le Prophète , il nous dit : "Y a-t-il quelqu'un d'entre vous qui a de la nourriture?". Or il se trouva qu'un homme en avait un sâ' (mesure de 8 poignées de grandeur moyenne) ou presque une quantité équivalente de farine qu'on fit pétrir. A ce moment, arriva un polythéiste, de haute stature et aux cheveux ébouriffés; il conduisait un troupeau de moutons. - "A vendre ou à faire cadeau - ou suivant une variante à faire donation?", lui demanda le Prophète . - "Non, à vendre", répliqua l'homme. Le Prophète acheta de lui une brebis qu'on prépara; puis l'Envoyé d'Allâh  ordonna d'en faire rôtir le foie. Le rapporteur poursuivit : "J'en jure par Allâh, il n'y eut pas un seul de ces cent trente hommes à qui l'Envoyé d'Allâh  n'offrit un morceau de ce foie rôti. On servit un morceau à chacun de ceux qui étaient présents et on mit en réserve la part des absents. On fit remplir deux grands plats, nous en mangeâmes jusqu'à la satiété et il resta encore une part dans les deux plats, que je chargeai sur le chameau. Tel était le récit (ou quelque chose d'approchant)".

                                                                                                                                                                                                         Rapporté par Bukhari, At‘ima, 6; Muslim, Ashriba, 175

                                                                  L'eau jaillit entre les doigts du prophète pour que 90 hommes font leurs ablutions:

Anas Ibn Mâlik (??? ???? ???) a dit : "Un jour, le Prophète ordonna de l'eau (pour faire les ablutions). On lui apporta alors un large vase (contenant un peu d'eau). Nous fîmes tous nos ablutions et nous étions de soixante à quatre-vingt-dix hommes. Je vis l'eau jaillir d'entre les doigts du Prophète ".

                                                                                                                                                                                                                            Rapporté par Sahih Mouslim Hadith: 4224

 

 

                                                                                       LES MIRACLES DU PROPHÈTE AVEC DES PERSONNES MALADES ET BLESSEES

Il y a beaucoup d'exemples au sujet de ce genre de miracles du messager de Dieu , qui sont enregistrés dans les livres authentiques de la tradition.

                                                                         La guérison de l'oeil de Ali avant la bataille de kaybar

D'après Sahl Ibn Sa'd, le Prophète a dit le jour de Khaybar : "Demain je confierai le drapeau à un homme par la main de qui Allâh nous donnera la victoire, à un homme qui aime Allâh et Son Envoyé et qu'Allâh et Son Envoyé aiment". Tous les fidèles passèrent la nuit, dans l'agitation, pour savoir à qui on donnerait le drapeau. Le lendemain matin, les fidèles se rendirent auprès de l' Envoyé d'Allâh , espérant tous recevoir ce drapeau. - "Où est 'Alî Ibn 'Abî Tâlib?", demanda le Prophète . - "ô Envoyé d'Allâh , il a mal aux yeux", lui répondit-on. - "Qu'on aille le chercher!", reprit le Prophète . On l'amena et l' Envoyé d'Allâh  lui cracha dans les yeux et fit une invocation et aussitôt 'Alî fut guéri au point qu'il semblait n'avoir jamais été malade. Le Prophète lui ayant remis le drapeau, 'Alî dit : "Ô Envoyé d'Allâh , je les combattrai jusqu'à ce qu'ils soient (musulmans) comme nous". - "Va, lui répondit le Prophète ; sois calme tant que tu ne seras pas arrivé à leurs positions; alors invite-les à embrasser l'islam; dis-leur les devoirs que la religion leur impose vis-à-vis d'Allâh. Par Dieu! Il vaudrait mieux pour toi d'être, grâce à Allâh, le guide d'un seul homme dans la bonne voie que de posséder des chameaux rouges".

Bukhari, Fada'l al-Sahaba, 9; Muslim, Fada'il al-Sahaba, 34.

                                                            La guérison de la jambe de salama par la salive du prophète 

yazid ibn abi-ubaid rapporte que
J'ai vu la trace d'une blessure dans la jambe de Salama. J'ai dit à lui, des " O Abu mouslim! qu'est cette cette blessure?" Il a dit, "c'est un coup qui m'a été infligé le jour de Khaibar et les gens avaient dit , 'Salama a été blessé.' Alors je suis venu au prophète et il a soufflé sa salive dedans (c.-à-d. la blessure) trois fois, et depuis lors je n'ai eu aucune douleur jusqu'à cette heure."

                                                                                                                                                                                                                         Boukhari , hadith No. 3916

 

                                                  Le brebis parle au prophéte

Après la conquête de Khaybar, une femme juive a offert au messager de Dieu un mouton rôti. Le messager de Dieu, sur lui soit paix et bénédictions, a mangé un morceau mais, selon le récit d'Abu Dawud, a cessé de manger et a dit: Ce brebis me dit qu'il est empoisonné . Alors il s'est tourné vers la femme et lui a demandé pourquoi elle lui a offert un mouton toxique. Quand la femme a répondu qu'elle a voulu le tuer, le messager a répondu: Dieu ne vous aurait pas laissé m'attaquer et me gêner .

                                                                                                                                                                                                                       Muslim, Salam, 45; Abu Dawud, Diyat, 6.

 

                                                               La nourriture glorifie Dieu

Abdullah ibn mas3oud rapporte : "Nous pouvions entendre la nourriture Glorifier Dieu tandis que nous mangions avec le messager de Dieu, sur lui soyons paix et bénédictions                                                                                   "Bukhari, Manaqib, 25; I. Hanbal, Musnad, 1.460.

 

                                         Les roches disant :" Que la paix soit sur toi oh messager de Dieu"

On a établit par des récits authentiques d''Ali, Jabir et 'A'isha Siddiqa que les roches et les montagnes disaient au messager de Dieu, 'que la paix soit sur toi o messager de Dieu' 'Ali dit: 'toutes les fois que nous allions fait une sortie dans les banlieues de Makka dans les premiers temps de la propheties , les arbres et les roches que nous rencontrions disaient , 'que la paix soit sur toi ô messager de Dieu!

                                                                                                                                                                                                                                  Tirmidhi, Hadith No. 3630; Hakim, 2.607.

 

 

L'arbre atteste qu'il n'est qu'un Dieu et que Mohammed est son messager:

Un bédouin passant près du Prophète  celui-ci lui dit: Où vas-tu, bédouin? Chez ma famille, dit-il. 
- Veux-tu du bien ?dit le Prophète  

- Quoi donc, fit le bédouin? 
- Tu témoignes qu'il n'y a de Dieu qu'Allah, UN et Unique et que Mohammed est son serviteur et son Prophète. 
- Qui atteste ce que tu dis, répondit le bédouin? 
- Cet arbre, dit le Prophète en désignant un arbre au bord d'une vallée! Et voilà que l'arbre s'avance, traînant sur le sol ses racines et s'arrête devant le Prophète . Trois fois le Prophète  lui demanda de témoigner et l'arbre le fit.

Rapporté par eldarami

 

 

Les Anges gabriel et Michael combattent à coté du prophète Mohammed 

Saad ibn Abi Waqqas raconte : À la bataille d'Uhud, j'ai vu deux hommes habillés en blanc à côté du messager de Dieu, combattant dans pour lui . Je ne les avais jamais vus avant, ni depuis. (Sa'd a signifié qu'ils étaient deux archangels, Gabriel et Michael.)